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Suzuki Swift : l’hybride futée

La Suzuki Swift est plaisante, hybride, éventuellement 4 roues motrices et surtout, elle vient tout juste de passer à la 3e génération.

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C’est la 3e génération de Swift ! Pour celles et ceux qui ne la connaissent pas, la Swift, c’est l’un des plus grands succès du constructeur japonais, du moins ces 10 dernières années. Arrivée au printemps dernier dans l’Hexagone, la toute nouvelle Swift fait déjà un carton. Sauf que, quand on la voit pour la première fois, on n’a pas l’impression qu’elle ait changée. Pourtant, en mettant les deux générations précédentes à côté de la nouvelle, on voit forcément que la Swift a beaucoup changé.

DIFFÉRENTE

En fait, la Swift, c’est un peu comme chez Mini. On essaie de préserver une équipe qui gagne. Sauf que contrairement à la Mini Hatch qui s’est allongée de 17 centimètres entre la 1ère et la 3e génération, la Swift est parvenue à contenir son encombrement extérieur, voir le réduire de quelques millimètres. Cela s’accompagne d’une cure d’amaigrissement grâce à une toute nouvelle plate-forme qui lui permet d’afficher un poids plume de 840 kg (soit 120 kg de moins que la Swift précédente). Mais revenons sur son style. On constate bien l’évolution avec une surface vitrée faisant plus penser à un coupé, mais aussi une calandre redessinée, sans oublier les feux avant dont la forme est moins agressive. À bord, on retrouve une ambiance assez proche de l’ancienne et on gagne un peu plus d’aisance et de confort aux places avant. Les matériaux reflètent une bonne qualité dans l’ensemble même si l’on n’atteint pas le niveau d’une Peugeot 208 ou une Volkswagen Polo. Dans le détail, la Swift s’offre un petit écran couleur tactile assez pratique. À l’arrière, on gagne 1 centimètre pour les jambes alors que la contenance du coffre fait un petit bond en avant par rapport à la Swift 2 : 265 litres (soit 54 litres de plus).

HYBRIDE POUR 800 €

Sous le capot, notre citadine est disponible soit avec un bloc 4 cylindres 1,2 litre de 90 ch, soit un moteur 3 cylindres turbo 1 litre de 111 ch. C’est d’ailleurs le choix le plus rationnel, surtout si on opte pour l’option SHVS. Le moteur est alors épaulé par un petit moteur électrique qui se recharge grâce à la récupération d’énergie au freinage. Grâce à ce moteur, la Swift gagne 50 Nm de couple dans les phases de démarrage qui permettent ainsi de moins consommer de carburant durant ces phases où justement le moteur thermique consomme le plus. Résultat, cette citadine à essence ne consomme que 4,3 litres en moyenne. Sur ce point, la Swift brille par sa maniabilité et son rayon de braquage très pratiques en zone urbaine. Cela ne l’empêche pas d’offrir un excellent comportement routier. Sur les petites routes des Vosges, notre urbaine s’est même montrée extrêmement agile grâce à son poids plume et sa direction assez précise.

En somme, une citadine suffisamment polyvalente pour représenter une bonne réponse à la production française.

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